Le vice-ministre du travail Athys Kabongo est accusé par le New York Post d’avoir tenté de violer une femme dans un taxi Uber.
Il a été relâché grâce à l’immunité diplomatique qu’il a brandie, révèle le journal américain en citant des sources policières, dans sa livraison du 4 octobre 2018.
Selon Athys Kabongo qui s’est confié à 7sur7, via ses services de communication, vendredi 05 octobre, « effectivement il y a eu un incident bizarre ». Mais ses collaborateurs nient les faits allégués par le journal américain.
(Ci-dessous, sa réaction)
Alors que mon jeune frère qui m’aide pour ma mobilité a appelé un taxi uber pour rentrer à l’hôtel, nous avons trouvé deux autres passagers à bord qui étaient toutes des femmes, et une d’elle a commencé à agresser mon jeune frère en anglais jusqu’à l’accuser de l’avoir touché à la cuisse en entrant dans le taxi.
Elle a même appelé la police qui arriva sur le lieu et voulant arrêter mon jeune frère. C’est ainsi que je vais me présenter auprès de la police en ma qualité d’un membre du gouvernement venu en mission officielle pour leur dire que le taxi était pour moi et personne n’a touché la femme, et nous sommes partis sans problème.
Je ne sais pas comment les choses se trouvent maintenant même au niveau de la presse. C’était juste une petite incompréhension de 10 à 15 minutes et tout le monde est parti. Voilà la situation.
Jeff Kaleb Hobiang