Vital Kamerhe a déclaré que les opposants pourront à tout moment donner le nom de son candidat à la présidentielle.
« C’est une question stratégique et de réalisme politique. Aujourd’hui, si nous disons que le candidat commun de l’opposition, c’est X. Et si vous apprenez que demain, on lui a coupé la tête. Vous ferez quoi ? La campagne électorale commence le 20 novembre et se termine deux jours avant le début des élections. Nous avons dit dans le meilleur délai. A chaque chose son temps », a dt Kamerhe à la conférence organisée à la fin de la réunion des opposants à laquelle ont participé Félix Tshisekedi, Jean-Pierre Bemba, Adolphe Muzito et Moïse Katumbi.
« Si je ne suis pas candidat. Je vais soutenir le candidat commun de l’opposition », a -t-il ajouté.
Il a également dit que la réunion de Bruxelles s’est organisée en harmonie avec celles organisées précédemment par l’opposition à Kinshasa.
« Tout le monde est solidaire. Nous sommes en communion. Ce qui est dit ici reflète ce qui a été fait à Kinshasa par les partis de l’opposition », a déclaré le président de l’UNC devant les médias.
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