La commission électorale congolaise appelle l’opposition à tirer les conséquences de son rejet des très critiquées machines à voter. À moins de quatre mois de la présidentielle, la CENI met en garde contre les conséquences possibles d’un retrait des machines à voter.

Devant les doutes émis par l’opposition et la communauté internationale concernant la fiabilité des machines à voter, la CENI a indiqué que sans ces machines, les élections pourraient ne pas se tenir au mois de décembre. La commission électorale a d’ailleurs dénoncé hier un « débat politique » et des « intoxications » au sujet des machines à voter et du fichier électoral. « Depuis plus de trois mois des machines à voter sont à l’intérieur du pays dans le cadre de la sensibilisation des électeurs », assure Jean-Pierre Kalemba, le rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante.

DW

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