Le président de la Ligue des jeunes de la Convention des Congolais Unis (CCU) a , de vive voix, salué ce lundi 05 avril 2021 les réalisations du président Félix Tshisekedi depuis son élection à la magistrature suprême.

Analysant la situation de l’heure en République Démocratique du Congo , ce proche collaborateur de l’ancien ministre de la communication Lambert Mende a fait remarquer que le cinquième président de RDC a imprimé ses marques en dépit d’innombrables problèmes dans lesquels était plongé le pays.

Sans peur d’être contredit, Thierry Monsenepwo affirme que la nation est redevenue fréquentable, la justice est en train de reprendre ses lettres de noblesse, sans oublier la gratuité de l’enseignement.

« Le président a su marquer des pas positifs dans le sens de démanteler ces maladies une à une. D’abord en cassant l’isolement diplomatique du pays, qui est redevenu fréquentable. En mettant l’armée devant ses responsabilités pour régler la question de la crise sécuritaire dans l’Est, tout en associant les voisins de notre pays notamment le Rwanda, dans la résorption de ce fléau. En établissant la justice à sa place pour casser la corruption endémique et rendre possible l’État de droit. En imposant à l’Inspection générale des finances des résultats face au contrôle de la gestion des fonds de l’État. En rendant gratuit l’enseignement de base, socle d’une vie sociétaire stable car donnant la possibilité aux Congolais de demain, d’avoir le bagage intellectuel voulu pour être vrai citoyen du monde », déclare t-il .

Par cette même occasion, il a lancé un message fort à certains congolais qui ne voient que du négatif dans le mandat de l’actuel président de la République. A en croire ce jeune cadre de l’Union sacrée de la nation, cette posture ne favorise pas l’avancement des choses.

« Le président est certes le premier citoyen du pays, mais il n’est pas un magicien pour autant. Pour réussir à relever le défi, il a besoin de chaque Congolaise et Congolais…Il nous faut oublier qu’il ne peut être à la fois le boulanger et le batteur de blé. Dans une nation responsable, chacun doit jouer sa partition pour que la mélodie soit belle », martèle t-il.

Si non, prévient-il, nous continuerons à envoyer un son difforme qui est le spectacle d’un mental décousu, et qui dénote d’une absence d’unité d’un peuple autour de son leader.

Michel Tshiyoyo
Africa 24 sur 24

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